Séjour à Madagascar : goûter le « Hanim-pitoloha »

Durant vos vacances, vous êtes de ceux qui souhaitent éveiller votre curiosité gustative ? La Grande Ile vous plaira à coup sûr ! Pour vous assurer de profiter pleinement d’une découverte culinaire au cours de votre séjour à Madagascar, ne manquez pas de voyager avec un professionnel du voyage comme Marco Vasco Madagascar. Vous aurez l’occasion de déguster les spécialités de l’île à l’instar du fameux « Hanim-pitoloha ».

Il s’agit d’un repas de fête et il suppose que 7 plats différents soient présentés à table. Il est composé de porc et de dinde, d’anguille au porc et de filet de zébu cuit jusqu’à avoir une sorte de pâté. Vous y trouverez également de la viande de bœuf cuite, de la viande de veau aux haricots, du canard aux gingembres, du tilapia et du poulet au coco.

À Madagascar, les repas sont souvent accompagnés de « romazava ». Il s’agit d’un bouillon de viande de zébu et de brèdes. Ce bouillon parfume délicatement le plat, mais offre également un goût acidulé en bouche. D’une manière générale, les ingrédients pour le préparer ne sont pas les mêmes en fonction des régions.

Le porc aux feuilles de manioc pilées : une spécialité à ne surtout pas manquer

Il serait dommage de visiter Madagascar sans déguster le « henakisoa sy ravitoto » ou porc aux feuilles de manioc pilées. Quelle que soit la région de l’île que vous souhaitez visiter, vous aurez l’occasion de goûter ce plat. En effet, il s’agit de l’un des grands classiques de la cuisine malagasy. Vous n’aurez, de ce fait, pas de mal à en trouver dans les restaurants de l’île.

Comme son nom l’indique, ce plat est préparé à base de porc et de feuilles de manioc pilées. Pour la préparation, il faut faire dorer la viande avant de la faire cuire à l’eau. Les feuilles de manioc pilées sont ensuite ajoutées avec de l’huile, du sel, du sucre et de l’ail. Le tout est cuit pendant une vingtaine de minutes jusqu’à ce que l’eau s’évapore. Ce plat est servi avec du riz et de l’achard de tomate.

Le koba : un délicieux cake à tester

En cas de petite faim ou en guise de dessert, le « koba » est à ne pas manquer. Il s’agit d’une pâtisserie traditionnelle que les locaux apprécient. Il est préparé à base de farine de riz, de cacahuètes broyées et de sucre roux. Les ingrédients sont mélangés avant d’être enveloppés dans des feuillus de bananier. Le tout est ensuite cuit pendant des heures dans un récipient rempli d’eau.

Si après un repas assez copieux, vous souhaitez finir sur une note légère, pourquoi ne pas choisir des fruits ? La grande île propose un large choix de fruits exotiques dont les goûts sont particulièrement prononcés. Entre les bananes, les mangues, les ananas, les goyaves… vous avez largement le choix.

Vous aurez aussi l’occasion de déguster à de curieux fruits comme le « Renala ». Aussi connu sous le nom de « pain du singe », ce fruit est le fruit du Baobab. La pulpe de ce fruit peut se manger fraîche ou en jus. Quant à ses graines, il est possible de les griller.

La cazuela de berenjenas

L’Argentine est peut-être un pays de la viande et des barbecues, mais il est aussi possible de manger des plats végétariens. Ne manquez pas de goûter par exemple la cazuela de berenjenas. Cette recette fait partie des plats typiques du pays. Il s’agit de légumes parsemés de fromage et cuits au four pour gratiner.

L’aubergine, la pomme de terre, le poivron vert, l’oignon et la tomate sont les légumes utilisés. Pour rehausser le goût du plat, les Argentins y ajoutent du basilic, de l’origan et du poivre. Juste avant de servir, ils saupoudrent le tout de chapelure. Vous aurez l’occasion d’en gouter partout où vous irez pendant votre séjour en Argentine. Pour en savoir plus sur un voyage dans ce pays, cliquez sur ce lien.

La provoleta

Si vous êtes un amateur de fromage, vous serez ravis de déguster la provoleta. C’est un délicieux plat à base de fromage provolone enduit d’huile d’olive et saupoudré d’origan et de poivron rouge broyé. Dans une poêle, la provoleta est grillée au four jusqu’à ce qu’elle devienne gluante. Elle est prête lorsque le fond et les bords sont croustillants, tandis que le cœur est fondant.

À titre d’information, pour la préparation, il vous faut une épaisse tranche ronde de fromage provolone. La provoleta est à manger avec du pain. La provoleta est surtout consommée en accompagnement pendant un asado (barbecue en Argentine).

La carbonada criolla

Parmi les plats typiques argentins les plus prisés, on peut aussi noter la carbonade criolla. Il s’agit d’une sorte de ragoût de bœuf. En fait, la carbonade criolla est traditionnellement cuite dans un plat en terre sur un feu de bois. Le nom de ce plat viendrait de sa cuisson qui est lente et longue, notamment jusqu’à la dégradation des bûches de bois. Aujourd’hui, les moyens modernes permettent bien sûr de ne plus avoir à surveiller les bûches sur le feu.

Dans ce plat nutritif et gourmand, il y a de la viande de bœuf, du potimarron, de la pomme de terre, de la patate douce, de la tomate, de la carotte, de la courgette, du maïs et du poivron. Pour donner plus de goût, l’oignon, l’ail, le poivre, le romarin et le thym sont présents. Enfin, le plat est décoré avec des herbes aromatiques.

L’espuma de maracuja

Pour terminer, essayez un dessert frais et rafraîchissant, l’espuma de maracuja. C’est de la mousse tropicale faite à partir du jus des fruits de la passion, de crème fraîche, de lait concentré sucré, de miel et de blancs d’œufs. Cette recette est facile à préparer. Vous devrez d’abord avoir des fruits de la passion bien mûrs, c’est-à-dire avec la peau toute fripée et bosselée.

Ensuite, pour obtenir une crème onctueuse, fraîche et délicieuse, il faut mélanger le jus avec la crème et le lait. Pour le visuel, on y dépose les petites graines noires enrobées d’une pulpe translucide orangée et parfumée des fruits de la passion.

Le shan khao swé

Le shan khao swé fait partie des plats originaires de la province de Shan, à la frontière de la Chine à l’est du pays. Sachez que la cuisine de Shan est à la fois appréciée des Birmans et des visiteurs étrangers. Ce plat est assez simple à préparer, mais son goût peut aller au-delà de vos attentes. Il est réalisé à partir de nouilles de riz épaisses (yay sein), accompagnées de poulet ou de porc cuit dans un curry à base de tomates, de farine de pois chiche, d’oignons, d’huile d’ail, de piment et de sauce soja. Le tout est saupoudré d’arachides grillées torréfiées.

Le shan khao swé se consomme habituellement avec des légumes fermentés et du tofu frit. Pour ravir encore plus votre palais, les nouilles shan peuvent aussi être préparées dans une soupe. La version soupe est faite avec des nouilles de riz gluant (san see) et du bouillon épicé. La viande et la sauce sont les mêmes. Régalez-vous de shan khao swé à toute heure de la journée !

La lahpet thoke

Sachez que l’ingrédient principal de ce plat est le thé. Mais ici, le thé ne se boit pas, mais se mange en salade. C’est une tradition en Birmanie. Pour en savoir plus sur le pays, cliquez ici. Le laphet thoke est un plat que l’on mange notamment dans l’État Shan, présenté dans un récipient de laque et consommé en apéritif ou avec du riz.

C’est en fait un mélange de plusieurs ingrédients. Il y a des feuilles de thé marinées, des fines tranches de choux, des oignons, de l’ail frit, de l’huile d’ail, des haricots et des arachides grillés. Pour donner encore plus de goût, on y ajoute des fèves de soja, des crevettes séchées, des graines de sésame grillées et des tomates hachées. Vous pourrez trouver cette délicieuse salade à chaque coin de rue des villes birmanes ou sur certains marchés aux abords du lac Inle.

La tohu thoke

La tohu thoke figure aussi parmi les plats de Shan qui rendent la gastronomie birmane unique. Il s’agit de morceaux de fromage de soja aux légumes et parfumés aux herbes. En réalité, l’ingrédient principal de cette salade n’est pas du tofu de soja fermenté à la façon traditionnelle. En effet, la confection du tofu est faite avec de la farine de pois chiche et du curcuma pour la couleur. Sa texture ressemble à de la polenta.

Servis dans un bol, les blocs de tofu sont couverts de légumes hachés, de graines de sésame grillées, de coriandre ciselée et d’échalotes frites. Pour l’assaisonnement épicé, on utilise des gousses d’ail râpées, de la sauce soja, du vinaigre de riz, du piment haché, de l’huile d’arachide et de l’huile de sésame. En tout cas, c’est un plat qui va enchanter les végétariens gourmands. Bien évidemment, on peut ajouter du poulet ou du porc.

Centre spatial national, Leicester

En tête de la liste des choses amusantes à faire en famille, il y a un voyage dans le brillant National Space Center de Leicester. Abritant six galeries interactives, une Rocket Tower de 42 m et le plus grand planétarium du pays, c’est une journée amusante et fascinante dont les enfants se souviendront pour les années-lumière à venir. Proposez à vos enfants de faire un tour dans l’espace grâce à ce voyage Europe, rencontrez des astronautes et traversez une maquette de station spatiale internationale avant de redescendre sur terre.

Legoland, Windsor

Donnant vie à la magie de Lego, Legoland Windsor regorge de zones interactives, de manèges amusants et de nombreux spectacles et divertissements. Vous pouvez facilement passer une journée entière ici, ce qui n’est pas une surprise en tant que l’une des principales attractions familiales du pays. Les points forts incluent «Mini Land» où des monuments célèbres sont recréés à l’aide de près de 40 millions de briques Lego, le plaisir de Ninjago World et la toute nouvelle Haunted House Monster Party, parmi de nombreuses autres activités. Gratuit pour les enfants de moins de 3 ans.

Chaussée des Géants, Antrim

Un spectacle à voir, la Chaussée des Géants est un phénomène naturel à couper le souffle qui doit être vu pour être cru. Encadrée par des falaises spectaculaires et la côte atlantique sauvage, cette merveille géologique se compose de quelque 40 000 colonnes de basalte imbriquées, supposées être le résultat d’une ancienne éruption volcanique. Attirant un million de visiteurs par an, c’est toujours une attraction populaire pour les excursions en famille hors de la ville.

Gorge d’Ironbridge, Shropshire

Pour une excursion d’une journée éducative en famille, visitez ce site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO sur la célèbre rivière Severn. Formées par un débordement glaciaire à l’époque glaciaire, les roches ont révélé du charbon, du fer, de l’argile réfractaire et du calcaire ci-dessous – là où les racines de la révolution industrielle ont commencé plus tard. Le long de la gorge se trouve un musée dédié, offrant un accès à 10 attractions, dont divers musées, tunnels et maisons dans cette zone historique et protégée.

Château de Stirling, Stirling

L’Écosse a de nombreux châteaux à offrir, mais une touche de théâtre a transformé le château de Stirling en l’une des meilleures attractions familiales du Royaume-Uni. Donnant vie à sa riche histoire avec des performances et des événements, il y en a pour tous les goûts. Des événements magiques de licorne aux performances orchestrales en passant par les visites guidées, vous pouvez même vous habiller avec des vêtements médiévaux et vous essayer aux instruments de musique de la Renaissance. Datant du début du XIIe siècle, il reste l’un des bâtiments les plus importants de l’histoire écossaise.

Aperçu sur les différents types de séjours gastronomiques

Pour connaître les divers avantages offerts par une colonie de vacances 17ans sur le thème de la gastronomie, il convient d’avoir un aperçu sur les différents types de séjours possibles. Pour commencer, il faut savoir que certains organisateurs proposent une colonie de vacances orientée vers la pâtisserie et la gourmandise. Celle-ci est plutôt adaptée aux tout-petits de 6 à 10 ans. Lors d’un tel voyage de découverte, les petits bouts auront l’occasion de découvrir toute la gamme du sucré. Ainsi, la confiserie, la friandise et bien sûr la pâtisserie n’auront plus aucun secret pour eux. Le séjour est généralement organisé par des animateurs experts en cuisine. Durant quelques jours, les enfants pourront donc, entre autres, apprendre à travailler les arômes, la présentation des mets dans l’assiette, etc.

Les séjours pour les plus grands

Outre la colonie de vacances basée sur la pâtisserie et la gourmandise, certains organisateurs peuvent également proposer une colo plus adaptée aux enfants ou adolescents plus âgés. Celle-ci convient aux tout-petits de 8 jusqu’à 17 ans. Lors d’un tel séjour cuisine, les bambins auront l’opportunité d’apprendre à manier les saveurs comme de vrais chefs. Avec leurs compagnons, ils pourront préparer un repas complet, et donc, de l’entrée au dessert, en passant par le plat de résistance. Pour ce faire, ils pourront se servir de tous les ingrédients : poissons, légumes, salades, viandes, etc. Il est même possible de décorer la salle pour donner aux invités l’impression d’être dans un véritable restaurant. Et le meilleur, c’est que les participants pourront avoir une notion du service.

Toute la famille peut participer

Lors d’une colo gastronomique, ce ne sont pas seulement les tout-petits qui auront l’occasion de faire plaisir à leurs papilles. Effectivement, les parents ainsi que toute la famille pourront de même participer au voyage culinaire. Bien entendu, ceux-ci ne vont pas aider les enfants à cuisiner. Loin de là, ils vont plutôt se mettre à la place des clients d’un restaurant où les bambins seront les chefs. En somme, ils vont de ce fait goûter à leurs créations. Cette dégustation est en général organisée à la fin de la colonie de vacances. Les enfants vont alors présenter à leur famille les projets qu’ils ont menés durant leur séjour cuisine. C’est déjà un grand défi pour eux de satisfaire les papilles de leurs proches. Il ne faut plus ainsi attendre un seul instant pour inscrire son enfant à un tel voyage gastronomique.

Le naan, un accompagnement incontournable

Le naan est un mets populaire de la gastronomie indienne. Il s’agit d’une sorte de crêpe épaisse faite de farine de blé, d’un œuf, du sel, de la levure et de l’huile d’olive. Parfois, on ajoute aussi du yaourt nature à la préparation. Le plus souvent, on s’en sert en guise de cuillère.
Le naan est ainsi un véritable pain de consommation presque toujours servi à chaque repas. Très apprécié des Indiens, il connaît différentes variantes. Les plus connues sont le naan nature et le naan au fromage. Vous en trouverez facilement pendant votre séjour en Inde, que ce soit dans les stands de street-food ou dans les restaurants chics.

Le poulet tandoori, véritable pilier de la cuisine indienne

Il s’agit également d’un plat indien très connu à découvrir pendant un voyage culinaire en Inde. C’est aussi l’une des spécialités culinaires indiennes les plus faciles à préparer. Il suffit de relever les morceaux de poulet préalablement lavés et séchés avec des épices tandoori, du citron et du yaourt.
Laissez les mariner un certain temps avant de les mettre au four. Privilégiez une marinade pendant toute une nuit pour avoir un poulet tandoori très succulent. Cependant, si le temps vous manque, faites mariner le mélange au moins une heure au réfrigérateur avant de l’enfourner.

Le Dhal, un best off de la gastronomie du pays des maharajas

Le Dhal est une spécialité culinaire typique très répandue en Inde. Il s’agit d’une purée de lentilles jaunes au goût particulièrement épicé. Ce plat traditionnel utilise en effet un bon nombre d’épices telles que le cumin, le gingembre, la coriandre, l’ail, le fenouil, le girofle, la cannelle, le curcuma, etc.
Également orthographié « Daal » ou « Dahl », ce mets est proposé dans quasiment tous les restaurants en Inde. Ainsi, que vous séjourniez au nord ou au sud du pays, à l’est ou à l’ouest, vous pourrez en déguster.

Le bebinca, le pudding à l’indienne

Si vous adorez les mets sucrés, vous raffolerez sûrement du bebinca. Il s’agit d’un gâteau à la noix de coco originaire de Goa, un État localisé à l’ouest de l’Inde. Il est peut-être calorique, mais il est vraiment savoureux. Le bebinca est préparé avec de la farine, des jaunes d’œufs, d’amandes moulues, du sucre et bien sûr de la noix de coco.
Proposé aussi bien dans la rue que dans les restaurants, le bebinca se savoure généralement au petit déjeuner. Mais vous pouvez aussi le manger comme encas lors des activités physiques, notamment lors des randonnées à la découverte de la biodiversité et des cités indiennes.

Une valeur culturelle importante

Peu importe où l’on se trouve sur le globe, la gastronomie est une valeur culturelle universelle. Il faut effectivement admettre que la cuisine est un trésor qui captive les vacanciers qu’ils soient petits ou grands. Durant un séjour au Canada, les voyageurs auront le privilège de parcourir les perles gustatives de cette fabuleuse destination. La cuisine locale est notamment un savant et harmonieux mélange d’influences gastronomiques diverses. La cuisine canadienne présente deux distinctions : la cuisine canadienne anglophone et la cuisine canadienne francophone. La première s’inspire de la cuisine américaine et de la gastronomie britannique. La seconde s’apparente un peu plus à la cuisine française.

Des spécialités gastronomiques pour tous les goûts

Dans le but d’orienter les vacanciers vers le meilleur choix de menu possible lors d’une escapade culinaire au Canada, il serait plus qu’intéressant de connaître les spécialités les plus incontournables du pays. Tout d’abord, la gastronomie canadienne regroupe de succulentes recettes tant sucrées que salées. Les plats les plus délicieux se trouvent aussi bien dans les plus grands restaurants, mais aussi dans les petits restos du coin de la rue. Voici entre autres quelques spécialités à ne pas rater pour un voyage gastronomique profitable dans les contrées canadiennes :
• les fèves au lard : à l’origine, ce plat était concocté par les voyageurs, et les trappeurs. Composé de fèves mélangées à des morceaux de lards, le tout est agrémenté de sirop d’érable ou de mélasse.
• La soupe aux pois : comme son nom l’indique, la soupe aux pois contient des pois, des pois jaunes plus précisément, on ajoute ensuite du porc salé et des légumes et enfin des herbes.
• Le pain bannock : pain traditionnel des Premières Nations, le pain bannock ou bannique se distingue par sa cuisson. Il est soit frit à la poêle, soit cuit sur les braises. Composée de farine, de sel et d’eau, la bannique accompagne agréablement les plats de viande de gibier.
• Les bonbons patates : ce ne sont pas réellement des sucreries. Ils sont notamment confectionnés à base de purée de pommes de terre lisse et de beurre d’arachide. Les bonbons patates ont la forme de roulés.
• Le sirop d’érable : qui tire son origine de la sève de l’érable à sucre est sans aucun doute le produit le plus célèbre de la cuisine canadienne. On en mange avec toutes sortes de plats sucrés comme salés.
• La poutine : c’est en fait des frites faites maison agrémentées de cheddar frais (ou autre fromage), et d’une sauce brune.

Une cuisine accessible et savoureuse

La première chose que l’on pourrait retenir d’une exploration gastronomique au Sri Lanka serait le fait de pouvoir surprendre nos papilles d’une manière époustouflante. De plus il est tout à fait possible de goûter à la cuisine authentique de cette destination, peu importe notre budget. Les lieux où se restaurer lors de vacances au Sri Lanka sont multiples. En premier lieu, on a les restaurants des hôtels dans lesquels les voyageurs et les vacanciers logent. Ces établissements proposent à leur menu, quelques-uns des plats locaux.
Quant aux tarifs, les prix peuvent être plus adaptés aux portefeuilles plus nantis. Par ailleurs, pour les budgets serrés, ou bien ceux qui souhaitent se régaler des spécialités sri-lankaises de façon authentique, les stands de restauration de rue sont les plus indiqués. On peut facilement en trouver dans les marchés locaux et aux coins des rues. Cependant, il est vivement recommandé de vérifier l’hygiène de ces lieux avant d’y manger.

Quelques spécialités à ne surtout pas manquer

Comme dans n’importe quelle découverte touristique, une exploration gastronomique au Sri Lanka mérite que l’on se renseigne sur les spécialités les plus incontournables de cette destination. Cette étape donnera l’occasion aux vacanciers de ne rien rater des trésors culinaires sri-lankais. D’autre part, les voyageurs tirer le meilleur parti de leur séjour grâce à une découverte complète de la gastronomie du Sri Lanka.

Le Rice & Curry

Véritable institution au Sri Lanka, le rice&curry est sans aucun doute le plat typique qu’il serait dommage de manquer. C’est en effet, le plat national de cette destination. Le curry servi sur le territoire sri-lankais diffère en général du curry rencontré en Inde. Au Sri Lanka, le mot désigne plusieurs types de préparations.

Le rice&curry peut être composé de divers ingrédients selon les goûts. Il peut notamment être végétarien, aux fruits de mer, à la viande ou servi avec un œuf. Ce plat peut également être assez relevé. Toutefois des versions moins fortes (white curry et no chili) sont disponibles pour les palais les plus sensibles.

Le Biryani

Comme le riz est un élément important dans la cuisine sri lankaise, il n’est donc pas étonnant de le retrouver dans la plupart des spécialités culinaires incontournables du pays. Le Biryani est notamment un plat de riz épicé et cuit agrémenté de différents aromates. Il est souvent servi accompagné de viande (poulet, mouton…), et d’œuf dur.

Le Kottu roti

Le Kottu roti est en fait un délicieux plat qui regroupe des œufs, de la viande, des épices, des légumes et enfin du roti qui est un pain local. Le tout est cuit sur une plaque de cuisson. La préparation de cette spécialité courante et de loin économique pour un voyage au Sri Lanka constitue tout un spectacle sur les stands de restaurant de rue.

« Défiez-vous toujours de ces bières qui sont fortes en couleur d’un rouge brun. Il faut leur préférer celles qui sont citronnées tirant sur l’orangère » – Gérard-François Crendal

Alors que les bières de l’Est (Alsace, Lorraine), sous l’influence de l’Allemagne, sont par tradition des bières blondes issues d’une fermentation basse, celles de l’Artois, des Flandres et du Hainaut, régions soumises en ce domaine à l’ascendant des Belges et des Anglais,, sont des bières « spéciales » de fermentation haute. Sont dites « spéciales » les bières assez fortes et variables de robe et de goût, par opposition aux « petites bières », ou « bières de ménage », moins fortes, que produisaient les petits ateliers du début de XXe siècle. Remises à l’honneur depuis les années 1980, les bières spéciales sont fabriquées dans le Nord-Pas-de-Calais par une vingtaine de brasseurs passionnés.

L’art du brasseur

Au XVIe siècle, un Traité de brasserie resté célèbre relatait les différentes étapes de la fabrication de la bière. Elle dure des mois, du moulin au grenier et aux chaudières. Chacun brassait sa propre bière, en ajoutant quelques petits secrets pour la parfumer: réglisse, girofle ou même pied de veau…Actuellement la fabrication de la bière se résume à trois étapes.

1. Le maltage : c’est la série d’opérations qui consistent dans le trempage, la germination et le  touraillage, ou séchage de l’orge, puis dans le dégermage du malt.
2. Le brassage : ensuite vient le brassage, c’est-à-dire le concassage, le brassage, la filtration du malt, la cuisson du moût du houblon, son traitement et son refroidissement.
3. La fermentation : basse (à température ambiante) ou haute (à chaud), la fermentation est simple, double, voire triple quand elle refermente surlie, en bouteille. À l’exception de cette dernière, avant sa mise en bouteille, la bière est stabilisée par filtration et pasteurisation.

Quelques noms emblématiques

La plus célèbre des bières du Nord est sans doute la Jenlain, dont la première référence de brassage remonte au XIVe siècle, à Valenciennes. Sa renommée provient d’une part de sa belle couleur ambrée et, d’autre part de la forme de sa bouteille, qui reproduit le modèle champenois et rappelle la gueuze belge.Comme également la Ch’ti reprend le surnom qu’on donnait pendant la Grande Guerre, aux soldats originaires du Nord. Cette bière de garde peut être blonde, ambrée ou brune.

L’Angélus est illustrée sur l’étiquette par le célèbre tableau de Jean-François Millet du même nom. Elle est brassée depuis 1989, à quelques kilomètres de Lille. Cette bière fromentacée est de forte densité et de fermentation haute, de couleur pâle et de saveur épicée.

La Cuvée des Jonquilles fit son apparition en 1989 comme bière de Mars. Brassée dorénavant toute l’année, cette bière sur lie (refermentée en bouteille) est blonde et affiche fièrement ses 7° d’alcool en volume, à l’égal de plusieurs de ses consœurs.

Trois Monts : Cassel, Des Cats, Des Récollets.Créée en 1985 à Saint-Sylvestre-Cappel (à 5 km  au nord de Hazebrouck), la bière Trois Monts, bière dorée de forte densité, est présentée dans une bouteille de 75 cl.

Dindes et dindons furent introduits du Nouveau Monde en France à la fin du XVIe siècle, après l’avoir été en Espagne et en Angleterre. Débarqués des galions espagnols, ils frappèrent l’imagination des Français qui les regardaient comme des oiseaux géants au plumage ébouriffé. Les moines de l’abbaye des Prémontrés, à Licques, montèrent un premier élevage vers 1560. De nos jours, on peut les voir pâturer en toute liberté, le long de la vallée de la Hem. Poulets (label rouge), pintades, chapons et poulardes accompagnent cet élevage très particulier.

Légumes

Les pommes de terre se transforment en frites et accompagnent à merveille la viande labellisée « Belle bleue » du Nord. Bintje et rate du Touquet se caractérisent par leur goût accentué. Le Nord-Pas-de-Calais et la Picardie assurent 83% du marché français de l’endive, et le Nord-Pas-de-Calais en est le premier producteur au monde. Également appelée chicon, chicorée Witloof ou chicorée de Bruxelles, l’endive rafraîchissante et croquante en salade, est prisée ainsi dans l’ensemble de l’Hexagone. Sa tendreté à la cuisson en a fait un plat d’hiver très apprécié dans le Nord: elle est dégustée braisée, gratinée ou au naturel, en même temps qu’une volaille ou une viande rôtie.

L’ail d’Arleux

Même s’il était assez connu et apprécié, l’ail n’était cultivé, au début du XXe siècle encore, que dans les jardins privés. D’ailleurs, il ne figurait pas dans l’inventaire des « Plantes propres à la nourriture des hommes », en 1804, de Christophe Dieudonné, préfet du Nord. Arleux était autrefois un gros village bâti au centre d’un paysage marécageux. On y fumait l’ail mélangé à la tourbe du marais.

Dans les années 1960, se mit en place fans sa région une véritable industrialisation de l’ail, dont l’essor fut tel que, de nos jours, Arleux et ail s’associent dans l’esprit des amateurs. Copieusement utilisé dans la cuisine locale, l’ail est délicieux dans une simple soupe à l’ail garnie de pain beurré et de fromage râpé.